Souvenez-vous frère que la nuit
Est un petit garçon
Qui ne mange pas à sa faim
Écrivez donc à l’oiseau
Dites-lui que les arbres
Cachent un démon plus
Habile que le vent
Ce ne sont pas des reposoirs
Pour des oiseaux gentils
Rappelez-vous frère
Que mon pays est une épine
Aux fleurs des grandes puissances
Hier soir elles ont tué un chat
Qui se baignaient trop souvent
Dans son innocence
Ici on tue pour n’importe quoi
On marche à l’envers de son corps
Pour tenter de tromper son ombre.
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