À celle qui éclairait les marches de la Bibliothèque
Ta parure d’étoiles sur la côte Éclipse d’éclat
nos souvenirs chahutés
Je me cherche dans tes yeux de biche rien qu’une cité morte
Rien que des grains d’écorchure dans ta voix quand tu me parles de cul-
terreux expropriés, arrachés de leur ration captifs du monde libre. sans porte-voix ni requiem
je m’avance près de ta joue quel poème saurait cautériser le sang
que tu pleures

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