Le temps pluie sauvage
Qui arrache ma mémoire
Grand-mère
Toi qui m’ouvre à jamais
La porte de nos ancêtres
Sur cette voie unique
Qui conduit vers nos dieux
Nos étoiles tranchantes
de sierra maestria
Le vent illumine
Tout arbre qui chante
Pour celui qui se bat
Contre l’avarice de l’aigle
O Cuba mon amour
Chaque nuit qui tombe
Tu grandis dans ma tête
Grand-mère
Toi qui contes chaque jour
Ces hommes barbus
Qui soulèvent leurs armes
Contre l’étoile caïman
Un poème d’amour
Pour ce porte étendard
Pour notre révolté
Qui met un parapluie
A toutes villes qui souffrent.

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