Ça ne sera que trop peu ; te le dire
Me voici encore un soir, désireuse
À demi-nue m’agrippant à ma chair,
À un sein
à l’écart de tes yeux
Sous un habit léger quelque peu vieilli
Et toi, au loin, là-bas et ici
Parfois tout sourire, parfois vacillant
Me conviant chaque fois à chérir
L’odeur de l’attente qui pâlit.

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